Léon Maquenne to H. Poincaré
Paris, 11 mai 1907.
Mon cher Confrère,
Je comprends très bien le sentiment qui vous porte à vous retirer de la lutte et je ne puis que m’incliner devant votre décision.
Permettez-moi cependant de me joindre à ceux de vos nombreux amis qui la regrettent et qui, malgré l’éventualité d’un échec possible, n’auraient pas hésité à vous suivre et à vous soutenir jusqu’au bout.
Veuillez bien croire, mon cher Confrère, à l’assurance de ma plus profonde sympathie et de mon plus sincère dévouement.
Léon Maquenne
ALS, 1p. Collection particulière, 75017 Paris.
Last edit: 28.10.2010